Avant de vous affirmer expert-comptable au sein d’une entreprise à Bruxelles, vous ferez bien de cerner les différents termes que recouvrent la comptabilité en générale. En tant que dirigeant d’entreprise, cela vous permettra aussi de vérifier l’exactitude des travaux de votre comptable.
Le bilan comptable et le compte de résultat
Le bilan comptable est un état qui représente une véritable mine d’or en termes de renseignements. Il est surtout utilisé par ceux qui sont tenus à l’interprétation de chiffres. En partant de cette base, il lui sera possible de trouver des informations réelles sur l’entreprise. Cela concerne à titre d’exemple le financement, le cycle d’exploitation ou encore la pérennité de la société. Les objectifs sont entre autre l’amélioration de la gestion financière de la structure, l’analyse de la santé concurrentielle ou encore l’évaluation d’une société avant la reprise.
Le compte de résultat pour sa part est aussi un des éléments de comptabilité à Bruxelles qui parle de l’activité économique de la structure, cliquez ici pour en savoir plus. Cet élément fait aussi partie des comptes annuels d’une entreprise. Il se charge de retracer les opérations de la société et de mettre en évidence le résultat de l’exploitation ainsi que le résultat net de la société. Ce document peut être consulté par toutes les parties prenantes de la structure à l’instar des investisseurs, des banques, des fournisseurs…
De l’immobilisation et de l’amortissement
Les actifs immobilisés permettent d’interpréter les traitements comptables. Il y a lieu de comprendre que les immobilisations sont en fait des éléments qui servent durablement à l’activité de la société. Les immobilisations corporelles consistent aux biens immatériels à l’instar des marques et des brevets ou encore des logiciels. Quant aux immobilisations corporelles, elles se composent des biens physiques divers à l’instar des machines de production ou encore des terrains et des véhicules. Les immobilisations financières pour leur part sont composées des investissements sur le long terme dans diverses autres sociétés.
En ce qui concerne les amortissements, ils visent en l’observation de l’éventuel appauvrissement de la société. Un bien qui a été acheté au prix de 100 ne vaudra plus que 80 l’année suivante. Une dotation à l’amortissement permet de constater la dévalorisation s’il y a lieu. Cela sera ensuite enregistré au compte de résultat. Pour calculer le montant amorti, deux méthodes vous sont proposées dont celle qui est linéaire et celle qui est dégressive. La première retient une annuité qui est constante et qui porte sur chaque exercice. Quant à la seconde, elle surélève la dépréciation dans le cadre des premières années d’utilisation.
Comprendre les effets de commerce
Dans le cadre de votre comptabilité à Bruxelles, vous devez aussi assimiler l’expression « effet de commerce ». Ils sont escomptables auprès d’un établissement bancaire et servent au soulagement de la trésorerie. Il s’agit de créance de l’entreprise auprès de la clientèle. Il existe deux types d’effets de commerce dont le billet à ordre d’une part et la lettre de change d’autre part. Cette dernière est également connue comme étant la traite.
La lettre de change est un écrit via lequel le tireur ou créancier ordonne au tiré ou débiteur le paiement d’une somme en se conformant à une échéance donnée. Le bénéficiaire peut être le créancier, mais cela peut aussi être une autre personne. Le tireur a diverses alternatives par rapport à la lettre de change. Déjà, il peut attendre l’échéance en vue de la remettre à la banque afin de faire un encaissement. Sinon, il lui est encore possible de la garder et de la faire encaisser quelques jours précédant l’échéance. Ce qui permettra de solutionner un éventuel besoin de trésorerie. Il est aussi envisageable d’user de cette lettre pour le paiement d’un créancier grâce à l’endossement.
Le billet à ordre est différent de la lettre de change, car il est émis par le tiré ou débiteur et le créancier est le seul à pouvoir en bénéficier.